TVA sociale
Posté: 07 Jan 2012, 23:14
Pour lancer ce sujet d'actualité, qui mérite de ne être un sujet de politocards, cet article de Vncent Bénard http://www.objectifliberte.fr/
L'article
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L'espoir pour la France, en ligne droite avec les souverainistes et patriotes
https://www.france-espoir.net/forum/
Le secret de la communication de Lefèvre : des messages simples et incisifs
On l'a encore vu la semaine passée sur France 2, Brandon Lefèvre, bac B option couture-IEP-Assas-MBA de Kentucky State University et célèbre dans le monde de l'industrie comme "cost killer" a défendu brillamment son programme de réduction des coûts de matières premières avec un argument simple qui a convaincu, selon les enquêtes, 5 millions de téléspectateurs : « si c'est plus épais, c'est plus lourd, et si c'est plus lourd, ça tombe ».
D'après Jessica Duronflard et Kévin-Grégory Latronche, experts en communication économique au Centre International de Communication Stratégique : « c'est un message limpide qu'on n'avait pas entendu depuis des années. Certains n'hésitent pas à parler d'un coup à la Séguéla. Face à Lefèvre, le major de Polytechnique Aymeric Lambert, PhD au MIT, Herr Doktor à Düsseldorf et Ingegnere Cum Preziosissima Laude à Bologne n'a pas tenu le choc. Il a craqué en parlant de "fréquence de résonance". Nous ne savons pas nous-mêmes de quoi il s'agit, mais les électrodes implantées sur les cerveaux de notre panel ont montré que 97% des cerveaux ont été ébranlés en entendant ce terme ».
Bref, Lefèvre est bien parti cette année encore pour être récompensé à Cannes par le prix du "Communiquant de l'année"
Saturnin a écrit:C'est le drame des formations dévaluées, du bac B et des filières pour fâchés avec le calcul dès le plus jeune âge, c'est que n'importe quel crétin se prétend impunément "économiste", puisque l'appellation n'est pas protégée comme pour les professions sérieuses (médecin, coiffeuse, ingénieur, pâtissier, jongleur...) Je repense toujours à ce séjour de ski à 18 ans avec un copain de terminale de l'année précédente et, notamment, son cousin. Ledit cousin, bac B, faisant un truc genre fac de "sciences" éco. Il avait apporté un manuel pour réviser. Je feuillette. Je tombe sur une vingtaine de pages expliquant laborieusement avec quelques petits dessins ce qu'était... une dérivée partielle. Je souris et je passe à autre chose.
Willsdorf a écrit:Je sais pas pourquoi tu parles du bac économie et social, tout le monde sait que ce bac est une grosse blague, qui ne sert qu'à refourguer des manuels rédigés par le Front de Gauche.
Pour les lecteurs pressés, en voici une synthèse que j'espère accessible
Saturnin a écrit:Willsdorf a écrit:Je sais pas pourquoi tu parles du bac économie et social, tout le monde sait que ce bac est une grosse blague, qui ne sert qu'à refourguer des manuels rédigés par le Front de Gauche.
Deux exemples : Nagy-Bocsa (au rattrapage), Copé.
Eh bien, ces guignols... ça cause... d'économie !
Déjà, si on avait pu éviter ça...
Willsdorf a écrit:Pour le reste, il n'est pas non plus nécessaire d'être Polytechnicien pour savoir qu'imprimer des billets augmente les prix, contrôler les prix provoque la pénurie, augmenter le Smic met les non-qualifiés au chômage, taxer la production ralentit l'activité
...
Ca, ce sont des lois, d'application aussi systématique que la loi de la gravitation.
Saturnin a écrit:J'ai vécu une bonne partie de ma prime enfance dans la fin des trente glorieuses, quand un cyrard ancien général avait commencé une carrière de dictateur à soixante-sept ans, qu'un normalien lettres lui avait succédé et qu'un polytechnicien était rue de Rivoli à l'Économie et aux Finances et où :
- on imprimait des billets
Saturnin a écrit:cyrard normalien polytechnicien blablabla
Willsdorf a écrit:C'était au contraire sous la IVe République que l'inflation était régulièrement à deux chiffres.
Lou Landès a écrit:Willsdorf a écrit:C'était au contraire sous la IVe République que l'inflation était régulièrement à deux chiffres.
Je crois pourtant me souvenir de taux d'inflation compris entre 10 et 15 % dans les années 70 !
Et dans ces années (que certains n'hésiteront pas à qualifier de "noires"), il n'était pas nécessaire de s'endetter sur 30 ans pour acheter son logement : 15 ans d'un endettement moyen suffisaient. Et grâce à l'inflation, les remboursement devenaient de plus en plus légers, dès les 3 ou 4 premières années passées.