Situation à l'école

Les violences à l'école.
Mercredi 09/07/2014
Par le Parti de la France des Bouches du Rhône.
Le terrible fait divers d'Albi où une enseignante a perdu la vie, poignardée par une femme psychotique issue de l'immigration, pose jour après jour le problème de la violence dans notre société, et plus particulièrement, dans les écoles, les collèges et les lycées.
J'ai pu lire et entendre, à cette occasion, des commentaires décalés et consternants. Un syndicaliste parlait "d'un acte isolé". Quel gros mensonge ! Comme toujours, on minimise les faits et on banalise un évènement d'une gravité extrême.
Il y a quelques années, j'étais représentant de parents d'élèves dans une école élémentaire. Une institutrice de CP avait osé faire une remontrance à un de ses élèves maghrébins, qui se comportait mal en classe. Le lendemain même, la mère, la tante et le grand-frère étaient venus voir l'enseignante, la menaçant "de lui casser la tête" si elle osait recommencer. Au cours d'une réunion, les enseignants nous avaient fait part qu'ils venaient travailler la peur au ventre devant les menaces incessantes des familles. On dira : "mais c'est culturel". Nous avions saisi la justice devant la gravité de faits inacceptables dans une école de la République. Et pourtant que d'opposition parmi certains... Surtout pas de vagues, tout va bien ! La hiérarchie et les syndicats étaient ligués pour minimiser les faits. Ce n'était à leurs yeux "qu'une altercation". On aurait bien aimé occulter l'affaire.
Cette enseignante qui a perdu la vie, dans une bonne volonté sincère, pensait qu'on pouvait intégrer "les sans-papiers" et les défendait. Cet angélisme lui a coûté la vie. Je pense à son époux et ses enfants qui en garderont des traces indélébiles.
Il serait grand temps de constater que l'intégration est un grave échec qui met en danger notre propre culture et la sécurité des citoyens français qui ne demandent qu'une chose : vivre en paix et en harmonie.
Quand va-t-on réagir ?
Mercredi 09/07/2014
Par le Parti de la France des Bouches du Rhône.
Le terrible fait divers d'Albi où une enseignante a perdu la vie, poignardée par une femme psychotique issue de l'immigration, pose jour après jour le problème de la violence dans notre société, et plus particulièrement, dans les écoles, les collèges et les lycées.
J'ai pu lire et entendre, à cette occasion, des commentaires décalés et consternants. Un syndicaliste parlait "d'un acte isolé". Quel gros mensonge ! Comme toujours, on minimise les faits et on banalise un évènement d'une gravité extrême.
Il y a quelques années, j'étais représentant de parents d'élèves dans une école élémentaire. Une institutrice de CP avait osé faire une remontrance à un de ses élèves maghrébins, qui se comportait mal en classe. Le lendemain même, la mère, la tante et le grand-frère étaient venus voir l'enseignante, la menaçant "de lui casser la tête" si elle osait recommencer. Au cours d'une réunion, les enseignants nous avaient fait part qu'ils venaient travailler la peur au ventre devant les menaces incessantes des familles. On dira : "mais c'est culturel". Nous avions saisi la justice devant la gravité de faits inacceptables dans une école de la République. Et pourtant que d'opposition parmi certains... Surtout pas de vagues, tout va bien ! La hiérarchie et les syndicats étaient ligués pour minimiser les faits. Ce n'était à leurs yeux "qu'une altercation". On aurait bien aimé occulter l'affaire.
Cette enseignante qui a perdu la vie, dans une bonne volonté sincère, pensait qu'on pouvait intégrer "les sans-papiers" et les défendait. Cet angélisme lui a coûté la vie. Je pense à son époux et ses enfants qui en garderont des traces indélébiles.
Il serait grand temps de constater que l'intégration est un grave échec qui met en danger notre propre culture et la sécurité des citoyens français qui ne demandent qu'une chose : vivre en paix et en harmonie.
Quand va-t-on réagir ?